Plusieurs plans, un coup de Combine Z et un détourage fin.
Mon rêve : un microscope triloculaire
Préparation et montage des genitalias :
Depuis longtemps (1976) j'inclus les genitalias dans une goutte de résine disposée sur une paillette de rhodoïd piqué sur l'épingle du propriétaire. Je ne suis pas le seul d'autres comme J. Coulon entre autres procède comme cela. L'avantage de cette méthode par rapport aux momies d'edeage desséchés (voir rabougris quand l'insecte est immature) est que l'on peut observer toutes les pièces chitineuses de l'endophallus et pas simplement la silhouette. D'ailleurs, dans le cas d'H. anxius et H. subcylindricus il y a une différence dans la disposition et la forme des pièces endophalliques.
L'inconvénient est l'observation sur un plan unique, généralement latéral (pour les Bembidion et Trechus pas de problèmes)
Mais la méthode classique du montage entre lame et lamelle ( avec des cales aux coins de la lamelle sinon écrasement de la pièce) est indispensable pour la microphotographie* ; la convexité de la goutte de résine sur paillette provoque d'énormes problèmes d'éclairage au microscope, mais pas sous la bino.
Pour photographier l'YB a écrit :Mais en préparation microscopique cela ne doit pas être possible...