"je m'étais senti un goût prononcé pour l'étude de cette famille et je m'en occupais avec prédilection" (S.-A. de MARSEUL 1853, Essai monographique des Histérides, Ann. Soc. ent. Fr. : 131)
Voilà, une espèce sabulicole qui aime le surf, il n'y en a pas 36 qui se limite au rivage...
"je m'étais senti un goût prononcé pour l'étude de cette famille et je m'en occupais avec prédilection" (S.-A. de MARSEUL 1853, Essai monographique des Histérides, Ann. Soc. ent. Fr. : 131)
Espèce encore plus commune que Hypocaccus (s. str.) rugifrons...
"je m'étais senti un goût prononcé pour l'étude de cette famille et je m'en occupais avec prédilection" (S.-A. de MARSEUL 1853, Essai monographique des Histérides, Ann. Soc. ent. Fr. : 131)
"je m'étais senti un goût prononcé pour l'étude de cette famille et je m'en occupais avec prédilection" (S.-A. de MARSEUL 1853, Essai monographique des Histérides, Ann. Soc. ent. Fr. : 131)
"je m'étais senti un goût prononcé pour l'étude de cette famille et je m'en occupais avec prédilection" (S.-A. de MARSEUL 1853, Essai monographique des Histérides, Ann. Soc. ent. Fr. : 131)
ocis ton spécimen se rapporte à un Histeridae du genre Hypocaccus qui comprend 9 espèces dans la faune de France.
Plus exactement : Hypocaccus (Baeckmanniolus) dimidiatus dimidiatus (Illiger, 1807), abondant sur le littoral de la
Corse, région médit., Océan Atlantique au sud de la Charente-Maritime.
La ssp. maritimus (Stephens, 1830), abondant sur le littoral de l'Océan Atlantique au nord de la Charente-Maritime, Manche,
Mer du Nord.
1 (2)- Corps bronzé, spinules du tibia postérieur fines, la ponctuation élytrale entre la strie suturale et la 4estrie
ne remonte pas jusqu'à la région scutellaire.(2,4-3,9 mm)...........................................dimidiatus dimidiatus (Illiger)
2 (1)- Corps noir, spinules du tibia postérieur épaisses, la ponctuation élytrale entre la strie suturale et la 4estrie
remonte jusqu'à la region scutellaire, le plus souvent avec des strioles.(2,9-4,4 mm).......dimidiatus maritimus (Stephens)
"je m'étais senti un goût prononcé pour l'étude de cette famille et je m'en occupais avec prédilection" (S.-A. de MARSEUL 1853, Essai monographique des Histérides, Ann. Soc. ent. Fr. : 131)