[Mc-Decapoda - Ocypode sp.] Encore un Ocypodidae

[Berquer]

Re-bonjour
Voici donc l'autre bêbête :
Mais celle-là, même après avoir examiné les docs cités dans mon sujet précédent, je cale !
Comme pour le 1er sujet, pour être honnête, j'ai mentionné l'heure : 20h00 au hasard. Mais c'est très plausible : à Mayotte, été comme hiver, il fait nuit "noire" à 19 h (voire avant !)
Cordialement,
Christian B

Christian Berquer : Mayotte : Bouéni : 97620 : 02/05/2002
Altitude : NR - Taille : non mesuré
Réf. : 183580

[Mazancourt]

Re-bonjour

Peut-être que l'habitat pourra nous aiguiller, est-ce qu'il a été rencontré au même endroit que l'autre ?

[Berquer]

Re-merci, Valentin
Oui : sur la même plage, et donc même habitat : assez grande plage de sable assez fin, parsemée de quelques rochers par endroits, bordée par quelques badamiers, cocotiers, et végétation basse diverse, notamment l'Ipomée Ipomoea pes-caprae (plante tropicale équivalente à notre Liseron des sables de Métropole).
Il était également, avec quelques autres congénaires, en zone intertidale, et se baladait non loin des vagues cette soirée-là aussi.

[Mazancourt]

Alors je n'ai pas vraiment d'arguments autres que l'habitat qui est le même, mais il pourrait bien s'agir d'un autre Ocypode ceratophtalmus, apparemment, les cornes caractéristiques peuvent être absentes chez les femelles et les juvéniles.

Cela dit, deux autres espèces ne peuvent pas être écartées, O. cordimanus qui semble préférer les habitats plus terrestres et O. pauliani qui n'a jamais été revu depuis sa description (Je laisse de côté O. pallidula qui est une petite espèce bien reconnaissable à ses gros yeux).

Pour trancher, il faudrait une vue de la partie interne de la pince pour observer la présence ou non de tubercules / stries stridulatoires.

[Berquer]

Merci pour toutes tes recherches, et ces infos, Valentin
Ah zut ! : je n'ai pas vu la partie interne de la pince !

[entonantes44]

Pour l'instant, je crois que nous en restons au genre, si j'ai bien suivi.

Ocypode Weber, 1795

[Berquer]

Re-merci, Brendan