
Pierre Duhem : France : Saint-Leu-la-Forêt : 95320 : 09/05/2025
Altitude : 186 m - Taille : Sans objet
Réf. : 359619

Pierre Duhem : France : Saint-Leu-la-Forêt : 95320 : 09/05/2025
Altitude : 186 m - Taille : Sans objet
Réf. : 359620
Section de la femelle et de l'

Pierre Duhem : France : Saint-Leu-la-Forêt : 95320 : 09/05/2025
Altitude : 186 m - Taille : Sans objet
Réf. : 359621
Le genre Pulvinaria ne me semble pas poser de difficultés.
Après ça, les choses se corsent.
Chez Willem Ellis, si l'on demande les parasites du tremble, on n'a que trois espèces de Coccidae, mais une seule Pulvinaria :
1) Palaeolecanium bituberculatum, pour lequel on a un schéma portant les deux tubercules qui lui ont donné son nom, sans
2) Parthenolecanium corni, également sans
3) Pulvinaria vitis, également.
Si on relance une recherche au niveau du genre Populus, les pulvinaires sont plus nombreuses :
1) Pulvinaria hydrangea, polylectique, bien connue notamment parce que le bouclier de la femelle tombe fréquemment et laisse l'
2) Pulvinaria regalis ;
3) Pulvinaria tremulae, sans photo et avec un seul genre mentionné dans la littérature ; et
4) Pulvinaria vitis (cf. ci-dessus).
Compte tenu de la présence d'une espèce spécifiquement inféodée au tremble, je me suis mis à la recherche d'informations. Rien. Pas une seule image sur le Net. La bestiole a été décrite par Signoret en 1871, sous la forme d'une vingtaine de lignes dans une présentation systématique des pulvinaires, et elle est systématiquement reprise dans la littérature depuis.
Je crains bien qu'on en restera au genre.