Un étudiant français aimerait faire traduire un texte tiré de l'ouvrage DAS TIERREICH Teilband N°103 - Saltatoria - Tettigoniidae / Saginae", published by Walter de Gruyter in 1986. Il est prêt à rétribuer ladite traduction (en anglais ou en français).
Toute personne intéressée peut envoyer un message en privé. Merci pour lui.
Emmanuel
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Traduction d'un ouvrage rédigé en allemand
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- Membre confirmé
- Enregistré le : mardi 16 juillet 2013, 9:39
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Traduction d'un ouvrage rédigé en allemand
- pierred
- Webmestre galerie
- Enregistré le : mercredi 20 avril 2005, 6:58
- Localisation : Paris
Traduction d'un ouvrage rédigé en allemand
Bonsoir,
La traduction d'un ouvrage publié ne peut pas être une opération individuelle, lancée par un « étudiant ». L'opération fait intervenir des ayant-droit du texte de départ, généralement publié par un éditeur, et du texte de destination, qui suppose que les droits de l'auteur secondaire (le traducteur) soient préservés de manière adéquate.
Bref, cela ne se fait pas de cette manière.
De plus, les promoteurs de telles opérations n'ont naturellement aucune notion du temps que cela représente et du coût que cela suppose, même au coût horaire (sic!) d'un étudiant.
On peut noter que les entomologistes belges ont noué des relations entre les facs d'entomologie et les facs de traduction pour essayer d'être « productifs », c'est-à-dire de proposer comme mémoires de fin d'études des traductions de clefs inaccessibles sans cette solution (clefs en russe, etc.).
La traduction d'un ouvrage publié ne peut pas être une opération individuelle, lancée par un « étudiant ». L'opération fait intervenir des ayant-droit du texte de départ, généralement publié par un éditeur, et du texte de destination, qui suppose que les droits de l'auteur secondaire (le traducteur) soient préservés de manière adéquate.
Bref, cela ne se fait pas de cette manière.
De plus, les promoteurs de telles opérations n'ont naturellement aucune notion du temps que cela représente et du coût que cela suppose, même au coût horaire (sic!) d'un étudiant.
On peut noter que les entomologistes belges ont noué des relations entre les facs d'entomologie et les facs de traduction pour essayer d'être « productifs », c'est-à-dire de proposer comme mémoires de fin d'études des traductions de clefs inaccessibles sans cette solution (clefs en russe, etc.).
Pierre D.