moi je pense au retrait de la vente de 2 insecticides également responsable de la regression des abeilles chez les apiculteurs, et surement d'autres insectes.
l'hiver doux, a du aussi y contribuer cette année.
La relation de cause à effet suite au retrait du Régent et du Gaucho reste à prouver dans ce cas précis ....
Jean-Pierre.
"Dans ma rétine brillait l'éclat du monde. Alors je me suis mis à pleurer. Communiant, ému des beautés de la vie" . Fred Durand - "Le troubleau" - Ed. STOCK.
Mais il est vrai que depuis avril j'en ai vu plus d'une dizaine, alors que je n'en avais jamais vu à Dourdan auparavant... et pourtant, peu ou pas d'insecticides employés dans le coin où j'ai fait les observations !
Il doit y avoir un autre facteur, la température exceptionnellement douce de janvier/février par exemple ? Mais je ne vois pas trop en quoi ça aurait multiplié les individus...
fdttl a écrit :En somme,on ne sait pas.
On ne peut que remarquer la chose qui doit dépendre d'un faisceau de multiples facteurs.
FD
oui on ne sait pas car n'oublions pas la chenille vit sur de nombreux feuillus non soumis aux insecticides , et l'espèce est redevenue très commune de partout , des zones quasi-urbaines aux zones rurales et semi-montagnardes .Très commune dans les années soixante dix puis devient très rare les vingt années suivantes puis retour en fanfare depuis les années deux mille ;les hivers doux n'expliquent rien non plus le papillon hiverne et ressort dés que la température se radoucie que ce soit en janvier ou fevrier .
d'autre espéces ont suivit le même chemin A.crataegi -B.circe-A.paphia etc...en tout cas il doit bien y avoir des facteurs qui font passer une espèce du statut de peu commun au statut d'abondance , cherchons
Sergio .