Merci, merci, pur ce concert d’éloges. Je suis confus.
Si, Si, je suis bien paresseux et il me faut un temps fou pour me mettre au travail. Il faut dire que je suis partagé entre une foule d’activités mangeuses de temps qui vont de l’élevage des papillons à la nutrition humaine en passant par l’horticulture et la musique (la grande perdante de cette dispersion). Peut être que je veux faire trop de choses, donc rien de très suivi. hypothèse fort soutenable en somme.
Blague à part, je pense que connaître les mœurs d’un papillon, ses plantes nouricières, ses biotopes favoris, son cycle, permet de le protéger mieux et même d’éclairer certains points obscurs de la systématique. C’est cette face de l’entomologie que je préfère.
Puisque le texte sur les apollons a plu, je mets dans un autre post le second volet de cette étude, Papilio alexanor .