ah bon sang bien sûr, mais comment j'ai pu passer à côté

(le coquin se cachait derrière une telle flopée de
Phyllonoricter qu'il a réussi à fausser mes radars). Et pourtant je subodorais bien un Gracillariidae !
C'est notre ami du robinier, dont je connais les mines depuis longtemps dans le secteur, et qui est évidemment tellement plus convaincant que
thrasonella ! Bien content de faire sa connaissance, non pas en chair et en os, mais en écailles et en ailes dirons nous...
Mais ça reste toujours étonnant ces (même relatives) convergences de motifs entre familles différentes !
Merci beaucoup en tout cas.
C'est donc
Macrosaccus robiniella !