Ah, oui ; carrément !
En effet, ce serait disproportionné d'envisager cette solution extrême.
Donc, on en resterait au mieux à
Meteorus pulchricornis 
, très probable ; ou, au pire, à
Meteorus cf. pulchricornis
Pas si mal, vu la difficulté majeure d'aller plus loin ; encore qu'il aurait pu être intéressant de vérifier que ce n'est pas une autre espèce de
Meteorus qui parasite également les chenilles d'
Uresiphita.

... Pierre.