Tant mieux, s'il y a plein d'endroits où l'on peut en voir, car ça avait l'air de préoccuper quelques intervenants de ce sujet. Encore est-il probable que, depuis le temps, ils ont réglé le problème.
En tout cas, depuis que j'ai entrepris de décortiquer ces brins de lierre mort, c'est fou ce que j'y trouve comme bestioles diverses et à des stades également variés. Celle que je viens, non sans mal, de photographier à l'instant, a toutes les chances d'être encore une femelle (la 3ème, en quelques jours) de
Sclerodermus ephippius.
... Pierre.