À l'instant, 3 min d'examen des feuilles de l'un de mes petits lauriers m'ont suffi pour dénicher une larve vivante ; sans parler des multiples gouttelettes noires attestant de la présence pérenne de l'espèce.
À comparer avec la 1/2 h passée sur le bigaradier, sans y trouver la moindre trace.