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Faire des insectes son métier : une interview de P-H Aberlenc
Animateur : Sans animateur
- Saturnin de la Poire
- Ron-ron
- Enregistré le : mercredi 11 mai 2005, 14:34
- Localisation : Troupomey-Les-Deux-Eglises
Faire des insectes son métier : une interview de P-H Aberlenc
cette interview je le pense intéressera tous les candidats à l'aventure :
http://passion-entomologie.fr/interview ... -aberlenc/
http://passion-entomologie.fr/interview ... -aberlenc/
Sat'
Si vous pouvez lire ça, c'est que vous êtes trop près
Si vous pouvez lire ça, c'est que vous êtes trop près
- Saturnin de la Poire
- Ron-ron
- Enregistré le : mercredi 11 mai 2005, 14:34
- Localisation : Troupomey-Les-Deux-Eglises
Faire des insectes son métier : une interview de P-H Aberlenc
le monde a changé. La recherche aussi.
Sat'
Si vous pouvez lire ça, c'est que vous êtes trop près
Si vous pouvez lire ça, c'est que vous êtes trop près
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- Membre confirmé
- Enregistré le : vendredi 12 août 2005, 14:39
- Localisation : Orne
Faire des insectes son métier : une interview de P-H Aberlenc
L' interviou parle beaucoup des galériens comme j'en connais deux ou trois
Bravo à De Miré d'avoir eu le nez de repérer des jeunes ayant le feu sacré et à PH pour son parcours ainsi que pour l'interview dans laquelle quelques vieux se reconnaîtront (sauf l'aspect pro en ce qui me concerne):D
Bravo à De Miré d'avoir eu le nez de repérer des jeunes ayant le feu sacré et à PH pour son parcours ainsi que pour l'interview dans laquelle quelques vieux se reconnaîtront (sauf l'aspect pro en ce qui me concerne):D
- Piezo
- Membre confirmé
- Enregistré le : dimanche 7 mars 2004, 13:00
- Localisation : Audierne
Faire des insectes son métier : une interview de P-H Aberlenc
J'ai failli prendre la suite de de Miré en 82 quand il est parti en retraite ( ) les hasards des concours ont voulu que je puisse continuer dans la recherche publique.
Le Cirad à cette époque était encore une mosaïque d'instituts techniques de droit privé, hérités de l'époque coloniale (IRAT pour les vivrières, IRCT pour le coton, IRHO pour les oléagineux, etc.). Le laboratoire de faunistique de Montpellier, alors dirigé par Philippe Bruneau de Miré, appartenait à un autre institut, plus "transversal", le Gerdat, les recrutements se faisaient après entretiens, pas par concours.
Finalement j'ai renoncé à la proposition, et un peu plus tard c'est Gérard Delvare qui a été recruté, mais j'aurais pu passer 35 ans avec HP !
Le Cirad à cette époque était encore une mosaïque d'instituts techniques de droit privé, hérités de l'époque coloniale (IRAT pour les vivrières, IRCT pour le coton, IRHO pour les oléagineux, etc.). Le laboratoire de faunistique de Montpellier, alors dirigé par Philippe Bruneau de Miré, appartenait à un autre institut, plus "transversal", le Gerdat, les recrutements se faisaient après entretiens, pas par concours.
Finalement j'ai renoncé à la proposition, et un peu plus tard c'est Gérard Delvare qui a été recruté, mais j'aurais pu passer 35 ans avec HP !
PieZo
Ici normalement, une citation bien pédante me permet d'étaler mon inculture...
Ici normalement, une citation bien pédante me permet d'étaler mon inculture...
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- Membre confirmé
- Enregistré le : vendredi 12 août 2005, 14:39
- Localisation : Orne
Faire des insectes son métier : une interview de P-H Aberlenc
Waouuuuu.... Tu l'as échappé belle
De Miré est nôtre doyen et lui aussi a eu un parcourt admirable (ce qui ne veut pas dire facile) c'est un grand naturaliste de la vieille école, mais peut-être que les jeune d'aujourd'hui en diront autant de nous dans ...50 ans
De Miré est nôtre doyen et lui aussi a eu un parcourt admirable (ce qui ne veut pas dire facile) c'est un grand naturaliste de la vieille école, mais peut-être que les jeune d'aujourd'hui en diront autant de nous dans ...50 ans
- Banane
- Membre confirmé
- Enregistré le : jeudi 27 septembre 2007, 9:15
Faire des insectes son métier : une interview de P-H Aberlenc
Mouais ... Il est quand même super pessimiste et se plaint beaucoup dans cette interview ! Et le conseil "oubliez votre passion, il fallait naître il y a 50ans pour en vivre" me fatigue un peu. C'est pas aussi facile qu'avant peut-être, mais il y a quand même des postes. Et comme avant, ça reste beaucoup une question de motivation et d'opportunité. D'ailleurs tous ces "anciens" ont généralement des parcours atypiques, c'est que c'était pas forcément à la porté de tout le monde. Sinon tous les anciens du forum seraient des entomo professionnels (à moins qu'ils ne soient pas vraiment passionnés).
J'ai plein d'amis entomo qui ont tous du boulot en asso, BE, en tant que chercheurs etc. aux 4 coins de la France, dom tom ou même d'autres pays. Le monde évolue et les distances se réduisent de plus en plus, c'est pas une tare d'être entomologiste au canada, à la réunion à Besançon ou au japon ; ni de faire des études statistiques ou de la systématique génétique et pas morphologique, n'en déplaise aux nostalgiques.
J'ai plein d'amis entomo qui ont tous du boulot en asso, BE, en tant que chercheurs etc. aux 4 coins de la France, dom tom ou même d'autres pays. Le monde évolue et les distances se réduisent de plus en plus, c'est pas une tare d'être entomologiste au canada, à la réunion à Besançon ou au japon ; ni de faire des études statistiques ou de la systématique génétique et pas morphologique, n'en déplaise aux nostalgiques.
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- Membre confirmé
- Enregistré le : vendredi 12 août 2005, 14:39
- Localisation : Orne
Faire des insectes son métier : une interview de P-H Aberlenc
Je n'ai pas trop le temps pour te répondre en longueur mais il me semble que tu n'as pas tout compris...
Ce n'était pas plus facile qu'aujourd'hui et on en vivait pas mieux il y a 50 ans.
A contrario c'est peut-être plus facile aujourd'hui précisément parce qu'il y a moulte agences et autres débouchés peut-être précaires qui sont proposés...
Et non tout les anciens aussi passionnés fussent-ils n'auraient pas trouvé d'emploi dans ce domaine...et je pourrais citer bien des noms de pros qui ont galèrés des années pour finalement accepter des postes "par lassitude"...Ce qui ne les a pas empêchés de faire de belles carrières
Ce n'était pas plus facile qu'aujourd'hui et on en vivait pas mieux il y a 50 ans.
A contrario c'est peut-être plus facile aujourd'hui précisément parce qu'il y a moulte agences et autres débouchés peut-être précaires qui sont proposés...
Et non tout les anciens aussi passionnés fussent-ils n'auraient pas trouvé d'emploi dans ce domaine...et je pourrais citer bien des noms de pros qui ont galèrés des années pour finalement accepter des postes "par lassitude"...Ce qui ne les a pas empêchés de faire de belles carrières