Je vois souvent des psoques sur ma barrière en bois, de diverses espèces, et ils semblent présenter un point commun : lorsqu’ils se déplacent rapidement ils paraissent « maladroits »… La démarche est saccadée, le corps a des mouvements qui font penser qu’ils « trébuchent » régulièrement ou qu’ils sont blessés.
Dans le cas de ce spécimen en costard sombre très élégant je n’ai d’abord pas vu que c’était un psoque mais lorsqu’il s’est vite écarté (parce que je m’étais approché trop brutalement) alors j’ai immédiatement reconnu cette démarche. Est-ce que vous avez cette même expérience ?
Sinon pour l’espèce, en suivant la clé du NBRC j’arrive nettement à Hyalopsocus morio. L’
Bref ça me paraît bien coller, qu’en pensez-vous ?
Sur le boulon d’une barrière en bois longeant une rivière, dans un bois de feuillus humide
Pierre Bornand : Suisse : Vevey : 1800 : 23/7/2013
Altitude : 382 m - Taille : 3.6 mm mesuré
Réf. : 105389
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