oxie a écrit :sans tuer avec un appareil photo.
Ah ? Parce qu'avant tu tuais avec un appareil photo ? Incroyable, ça n'abîme pas l'appareil ?
Forum communautaire francophone des insectes et autres arthropodes
Animateur : Bertrand P
oxie a écrit :sans tuer avec un appareil photo.
j'avais trouvé un site qui donnait les façons de conserver les couleurs de nos belles. Dans le but de conserver les cadavres que je trouvais. Moi, je ne tue pas.oxie a écrit :Je suis parfaitement d'accord avec vous qu'il existe des groupes ou il est impossible de déterminer sans tuer, hélas. Les hyménoptères en font partie, par exemple (les fourmis ou des petits hyméno) pour les hétérocères je suis aussi d'accord, mais cela doit se faire dans la stricte application de la loi (en tout cas chez nous).
En Belgique si on veut se lancer dans ce type de démarche il faut passer devant des commissions de recherche qui approuvent les mémoires expliquant la motivation de la recherche et ensuite on délivre les autorisations de capture (avec ou sans relâcher). J'avais sollicité le DNF pour mettre en place une démarche de type expérience Dommanget pour Oxygastra la seule fois ou j'avais capturé et relâché, afin d'évaluer la population d'une zone limitée et qui était pressentie pour un classement. Après il y a la rédaction d' un rapport à la clé qui est examiné par les instances scientifiques pour évaluer le bien fondé de la démarche ou pas et si les autorisations doivent être reconduite au pas.
Les couleurs des libellules ne résiste pas longtemps à la mort, ultime pied de nez qu'elles nous font, alors que certains coléoptères restent comme les bijoux qu'ils ont été, les libellules deviennent des momies brunes sans aucun attrait. c'est pour ça que souvent les naturalistes font appel à des peintres, pour peindre sur les téguments des "fantômes" des couleurs qui étaient à l'origine.
C'est idem en France où à partir du moment où une espèce est sur la liste rouge nationale ou régionale, la capture est "normalement" interdite sauf autorisation spéciale pour des besoins de recherches.oxie a écrit : En Belgique si on veut se lancer dans ce type de démarche il faut passer devant des commissions de recherche qui approuvent les mémoires expliquant la motivation de la recherche et ensuite on délivre les autorisations de capture (avec ou sans relâcher). J'avais sollicité le DNF pour mettre en place une démarche de type expérience Dommanget pour Oxygastra la seule fois ou j'avais capturé et relâché, afin d'évaluer la population d'une zone limitée et qui était pressentie pour un classement. Après il y a la rédaction d' un rapport à la clé qui est examiné par les instances scientifiques pour évaluer le bien fondé de la démarche ou pas et si les autorisations doivent être reconduite au pas.