Bonjour !
Petit cliché du 24 décembre, donc totalement de saison, avec cette dame Sympetrum striolatum
d'abord sauvée de la noyade (technique du doigt secourable), puis déposée sur une pierre ensoleillée,
et qui, quelques minutes plus tard, fait "tourner" ses ailes, avant de décoller la seconde suivante.
La question est : actionner ainsi ses ailes a-t-il une fonction de réchauffement, ou de simple essorage ?
Ou les deux mon général ?
Début de réponse : j'ai déjà noté ce comportement*, toujours en période froide, mais jamais sur un sujet humide,
encore que l'on pourrait comprendre qu'un odonate plein de rosée au matin s'ébroue...
Merci de me faire savoir si vos observations vont dans un sens ou l'autre...
Bien à vous,
M.
* si l'on excepte les premiers frémissements avant le vol virginal d'un sujet juste émergé !
Maurice PROGNON : France : st benoit la foret : 37500 : 24/12/2016
Altitude : NR - Taille : 40 mm
Réf. : 176212
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[Sympetrum striolatum] Chauffe Marcelle !
Animateur : Bertrand P
- morikan
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[Sympetrum striolatum] Chauffe Marcelle !
La frissonnante libellule / Mire les globes de ses yeux / Dans l'étang splendide où pullule / Tout un monde mystérieux. Victor HUGO
Balises :
- tioneb
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- Localisation : Beaupréau, Maine et Loire, 49
Chauffe Marcelle !
On considère en effet que c'est pour faire atteindre la température idéal de fonctionnement à la musculature.
Mais la lame vulvaire est étonnante, vraiment béante!
Mais la lame vulvaire est étonnante, vraiment béante!
Quand on voit ce qu'on voit et qu'on entend ce qu'on entend, on n'est pas surpris de penser ce qu'on pense.