Merci.
Mais certainement. J'utilise un 180 macro Canon sur un appareil Full Frame 24/36 Eos 1 ds mark III. donc la distance de travail est de 48 cm au Rapport 1/1 et de un peu moins de 42 cm au rapport 1,2/1.
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hybrida amoureusement
Animateur : alastor
- Sord
- Membre confirmé
- Enregistré le : mercredi 22 avril 2009, 19:26
- Localisation : Sud Vendée. Marais Poitevin.
hybrida amoureusement
Excuse cette question d'amateur qui essaie de se débrouiller en photo, mais comment peux-tu travailler à 42 cm quand la map mini est à 48 cm sur cet objectif ?
Jérémie. Curieux de, et de la, nature.
- oxie
- Membre confirmé
- Enregistré le : lundi 5 novembre 2007, 20:35
hybrida amoureusement
pas de blème, en fait si tu lis bien mon commentaire sur l'autre page tu verras que je parle d'une bague allonge.
Le 180 macro seul à une distance mini de 48 cm et un Rapport maxi de 1/1 (sur un full frame car sur un capteur APS, il y a un recadrage qui donne l'impression de travailler à 1,6/1)
Lorsque j'adjoints une bague allonge de 25 mm, la distance mini diminue un peu et le R aussi, je suis donc au dessous des 48 cm plutôt vers les 42 environ et le Rapport maxi passe à 1,2/1.
Le 180 macro seul à une distance mini de 48 cm et un Rapport maxi de 1/1 (sur un full frame car sur un capteur APS, il y a un recadrage qui donne l'impression de travailler à 1,6/1)
Lorsque j'adjoints une bague allonge de 25 mm, la distance mini diminue un peu et le R aussi, je suis donc au dessous des 48 cm plutôt vers les 42 environ et le Rapport maxi passe à 1,2/1.
- Sord
- Membre confirmé
- Enregistré le : mercredi 22 avril 2009, 19:26
- Localisation : Sud Vendée. Marais Poitevin.
hybrida amoureusement
Bonsoir.
Excuses-moi, ça m'est revenu à l'idée une fois le pc éteint et en repensant à ma pratique de la macro avec mon SR-T 100x et un jeu de bagues allonges (oui, ça date...).
Il est vrai que quand je lis les exifs de tes photos, la notion de bague allonge est absente.
C'était une lumière dans la nuit mais je n'ai pas voulu me relever.
En tous cas, merci pour la réponse.
Excuses-moi, ça m'est revenu à l'idée une fois le pc éteint et en repensant à ma pratique de la macro avec mon SR-T 100x et un jeu de bagues allonges (oui, ça date...).
Il est vrai que quand je lis les exifs de tes photos, la notion de bague allonge est absente.
C'était une lumière dans la nuit mais je n'ai pas voulu me relever.
En tous cas, merci pour la réponse.
Jérémie. Curieux de, et de la, nature.
-
- Membre confirmé
- Enregistré le : samedi 28 février 2009, 16:03
- Localisation : Lyonnais
hybrida amoureusement
bonjour,oxie a écrit :Merci.
Mais certainement. J'utilise un 180 macro Canon sur un appareil Full Frame 24/36 Eos 1 ds mark III. donc la distance de travail est de 48 cm au Rapport 1/1 et de un peu moins de 42 cm au rapport 1,2/1.
vu la distance et la nervosité de ces bêtes, à quelle période de la journée ces splendides photos ont-elles été prises et quelle température et ...nébulosité (le tout approximativement bien sûr) ?????? merci
je suis stupéfait des résultats. Bravo
- oxie
- Membre confirmé
- Enregistré le : lundi 5 novembre 2007, 20:35
hybrida amoureusement
Elles ont été prises en plein soleil avec quelques voiles nuageux (altocumulus) le samedi passé. La température au sol de la sablière était de 84,2°F (environ 29°C), il y avait un vent de 2 beauforts, mais pas au sol. Ma tactique pour les prendre est double, l'approche et l'affût.
L'approche, je profite au maximum des changements de température lorsque le soleil se cache provisoirement masqué par un nuage. La cicindèle tirant son énergie du soleil, elle est alors beaucoup moins active et on peut alors l'approcher.
Mais je préfère maintenant des méthodes moins intrusives. Je me place à un endroit qu'elles fréquentent, je les observe longuement (exactement comme le font les photographes d'oiseaux ou de mammifères) et il se fait qu'elles font souvent les même trajets pour explorer leur territoire à la recherche de nourriture ou de partenaire sexuels.
Je m'approche alors d'elles, souvent elles décampent, mais après je me place et je ne bouge plus et j'attends que elles viennent à moi!, lorsqu'une est à portée de tir je n'ai alors plus qu'à peaufiner mon placement et c'est dans la boite.
Je pars du principe que comme pour beaucoup d'animaux de ce genre, ce qui ne bouge pas n'est pas remarqué et donc pas considéré comme un danger potentiel. Donc le secret pour les prendre en photo est de les laisser vivre leur vie.
Un petit truc pour savoir lorsqu'elles vont déguèrpir, elles se dressent sur leurs pattes et font crisser les ailes sous leurélytres (Brzzzz-Brzzz souvent deux fois), souvent c'est que leur distance de sécurité est franchie et que vous êtes identifié comme un danger potentiel. Si alors vous approchez encore c'est la fuite assurée.
L'approche, je profite au maximum des changements de température lorsque le soleil se cache provisoirement masqué par un nuage. La cicindèle tirant son énergie du soleil, elle est alors beaucoup moins active et on peut alors l'approcher.
Mais je préfère maintenant des méthodes moins intrusives. Je me place à un endroit qu'elles fréquentent, je les observe longuement (exactement comme le font les photographes d'oiseaux ou de mammifères) et il se fait qu'elles font souvent les même trajets pour explorer leur territoire à la recherche de nourriture ou de partenaire sexuels.
Je m'approche alors d'elles, souvent elles décampent, mais après je me place et je ne bouge plus et j'attends que elles viennent à moi!, lorsqu'une est à portée de tir je n'ai alors plus qu'à peaufiner mon placement et c'est dans la boite.
Je pars du principe que comme pour beaucoup d'animaux de ce genre, ce qui ne bouge pas n'est pas remarqué et donc pas considéré comme un danger potentiel. Donc le secret pour les prendre en photo est de les laisser vivre leur vie.
Un petit truc pour savoir lorsqu'elles vont déguèrpir, elles se dressent sur leurs pattes et font crisser les ailes sous leur
- Piezo
- Membre confirmé
- Enregistré le : dimanche 7 mars 2004, 13:00
- Localisation : Audierne
hybrida amoureusement
Je pensais que cette rubrique était faite pour échanger des trucs et des astuces sur la photo d'insectes, pas pour balancer des séries de photos artistiques
Je présume qu'elles sont artistiques au vu des réponses sur la page 2, parce que avec ma connexion je n'ai pas encore réussi à voir les originaux
mais ça a réussi à bien planter mon ordi
Moralité, je ne vais plus fréquenter cette rubrique en particulier
Je présume qu'elles sont artistiques au vu des réponses sur la page 2, parce que avec ma connexion je n'ai pas encore réussi à voir les originaux
mais ça a réussi à bien planter mon ordi
Moralité, je ne vais plus fréquenter cette rubrique en particulier
PieZo
Ici normalement, une citation bien pédante me permet d'étaler mon inculture...
Ici normalement, une citation bien pédante me permet d'étaler mon inculture...
- oxie
- Membre confirmé
- Enregistré le : lundi 5 novembre 2007, 20:35
hybrida amoureusement
Exusez moi mais les admin ne savent plus où placer mes post. Je l'avais mis dans coléoptère, mais ils ont décidés de le déplacer parce qu'on parlait de photo. Ce n'est donc pas à cause de moi que mon post s'est retrouvé ici.
-
- Membre confirmé
- Enregistré le : samedi 28 février 2009, 16:03
- Localisation : Lyonnais
hybrida amoureusement
un grand merci de tous ces détails : excellente observation du comportement.oxie a écrit :Elles ont été prises en plein soleil avec quelques voiles nuageux (altocumulus) le samedi passé. La température au sol de la sablière était de 84,2°F (environ 29°C), il y avait un vent de 2 beauforts, mais pas au sol. Ma tactique pour les prendre est double, l'approche et l'affût.
L'approche, je profite au maximum des changements de température lorsque le soleil se cache provisoirement masqué par un nuage. La cicindèle tirant son énergie du soleil, elle est alors beaucoup moins active et on peut alors l'approcher.
Mais je préfère maintenant des méthodes moins intrusives. Je me place à un endroit qu'elles fréquentent, je les observe longuement (exactement comme le font les photographes d'oiseaux ou de mammifères) et il se fait qu'elles font souvent les même trajets pour explorer leur territoire à la recherche de nourriture ou de partenaire sexuels.
Je m'approche alors d'elles, souvent elles décampent, mais après je me place et je ne bouge plus et j'attends que elles viennent à moi!, lorsqu'une est à portée de tir je n'ai alors plus qu'à peaufiner mon placement et c'est dans la boite.
Je pars du principe que comme pour beaucoup d'animaux de ce genre, ce qui ne bouge pas n'est pas remarqué et donc pas considéré comme un danger potentiel. Donc le secret pour les prendre en photo est de les laisser vivre leur vie.
Un petit truc pour savoir lorsqu'elles vont déguèrpir, elles se dressent sur leurs pattes et font crisser les ailes sous leur élytres (Brzzzz-Brzzz souvent deux fois), souvent c'est que leur distance de sécurité est franchie et que vous êtes identifié comme un danger potentiel. Si alors vous approchez encore c'est la fuite assurée.
Je m'adresse aux "modérateurs". Ne pourrait-on pas couper en deux ce sujet en ne prenant qu'une photo et en séparant la technique photographique et la partie écologique à remettre dans "Coléoptères"
bien cordialement