Gyp' a écrit :La protection au plan national est juridiquement invalide ....
tu rêves. Elle est bien valide et le fait m'a été confirmé par les juristes du MEDAD. La synonymie s'applique au texte de Loi, et lunata est synonyme de la forme typique. Quant au mauvais renvoi de ligne (face à elisa), c'est une cocquille typographique, cela ne metr pas en jeu le fond du texte. Navré pour ceux qui y ont cru... J'ai eu le privilège de pouvoir corriger le texte sur la demandce du MEDAD, je puis affirmer que très prochainement Cucujus cinnabarinus ne sera plus protégé en France
Sat'
Si vous pouvez lire ça, c'est que vous êtes trop près
Non : je ne rêve pas ..
Si le texte reste tel qu'il est passé au JORF, toute verbalisation basée sur lui fera l'objet d'une annulation pour vice de forme ...... à condition de contester la sanction et d'avoir un avocat pour plaider dans ce sens ...
Sat' : le nom latin qui est paru au JORF est Gortyna borelli alors que cette bête n'existe pas (avec 2 l et 1 i alors que c'est l'inverse)..
Là est le vice de forme et je connais des avocats qui ont fait annuler des condamnations sur des détails aussi infimes ....
Bien entendu, sur le fond, je comprends la réponse de "vos" juristes (moi, j'étais du MAAPAR.. ) car ils pensent qu'un contrevenant ne pèsera rien vi-à-vis de "La Loi" --> et bien c'est FAUX ...
Jean-Pierre.
"Dans ma rétine brillait l'éclat du monde. Alors je me suis mis à pleurer. Communiant, ému des beautés de la vie" . Fred Durand - "Le troubleau" - Ed. STOCK.
Je remonte ce post, pour avoir quelques précisions sur les meilleures conditions pour observer l'imago (j'ai bien compris que c'était mieux de chercher les déjections de la chenille, mais c'est trop tard cette année). Y a-t-il un type de lumière meilleur qu'un autre pour avoir une chance de l'observer, et des conditions climatiques plus favorables?
C'est pour rechercher l'espèce sur des sites à Peucédan dans la Loire.
Oui oui j'avais bien vu la répartition sur ce site. Mais je me demandais si cette répartition était due à des conditions climatiques particulières ou bien si cela était du à la relative rareté de la plante-hôte. Comme on a de grosses populations de Peucédan dans certains coins de la Loire, et qu'en l'occurrence, c'est dans le cadre de mon boulot (bureau d'études), on voulait vérifier si en plus de la plante-hôte (qui est protégée en Rhône-Alpes), y aurait pas le papillon!
ALXNR a écrit :mon avis peu de chances de la trouver vers chez toi
Il ne faut jamais jurer de rien (on m'avait bien promis que je ne trouverais jamais d'autres Jordanita que globulariae en Vendée et j'y ai bien trouvé J. notata)
Si la plante-hôte larvaire est présente, ça vaut toujours le coup d'essayer...