les fourmilions en France

Des Chrysopes aux superbes Ascalaphes en passant par les Fourmilions, Mantispes, Sialis et Raphidies ...

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latique
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Message par latique »

J'envoie chez les Névroptères.
Eugène
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Patosz
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Message par Patosz »

CedricMondy a écrit : vendredi 19 septembre 2025, 20:16 il y avait eu cette présentation aux rencontres naturalistes d'Ile-de-France il y a deux ans
Merci pour ce partage, l'intervention était très intéressante, ce genre de recherche mériterait d'être approfondi pour comprendre les interactions des animaux avec leur environnement. :bienvu:
Touche à tout et curieux de tout.
Numayta
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les fourmilions en France

Message par Numayta »

Un monde pour qui s'y intéresse est juste fantastique et tellement riche qu'on peut passer sa vie à s'émerveiller de tellement de diversité,je l'ai découvert par les plantes d'abord avant de découvrir les insectes et aujourd'hui comme pour vous Patosz ma vision de notre planète a complètement changé
J'aime tellement les insectes que les cafards me donnent de l'espoir
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Patosz
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Message par Patosz »

Numayta a écrit : samedi 20 septembre 2025, 17:59 ma vision de notre planète a complètement changé
Il y a de ça, quand j'ai commencé à faire de la macro plus sérieusement, il y a un peu plus de deux ans, c'était avant tout une manière d'explorer mon terrain, en parallèle de l'inventaire ornithologique que j'avais en tête de faire depuis un moment. Au départ, je ne voyais pas grand chose, puis au fur à mesure que je comprenais mieux l'interaction entre les espèces et leur environnement, les choses m'ont semblé plus aisées. Maintenant, quand je sors de chez moi, si je n'ai pas un appareil photo à la main, je ressens de la frustration.
La complexité des interactions au sein de la nature me semble du même ordre que la complexité du système immunitaire dans notre organisme. On le sait, pas assez de renards conduit à trop de lapins, si trop de lapins alors apparition de la myxomatose. Avec les insectes, c'est encore plus sophistiqué, entre les parasites internes, les cleptorasites comme les guêpes coucous, les hyperparasites, on commence à toucher du doigt des mécanismes fins de régulation du contrôle des populations. J'en suis arrivé à la conclusion suivante : tant que je pourrais prendre en photo des insectes parasitiques et hyper-parasitiques, l'environnement à encore une chance de survivre à nos conneries.
Touche à tout et curieux de tout.

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