Bonjour,Doum34 a écrit :Bien d'accord avec toi, Vinz.
Je voulais juste dire qu'avec un APN compact dans lequel le contrôle de la profondeur de champ est très difficilement maîtrisable, car contrôlable uniquement au travers du petit 'display', il est plus difficile de connaître à l'avance le résultat (et, encore, à condition d'avoir une vue excellente) qu'avec un reflex numérique qui permet, tout comme avec un reflex argentique, d'avoir une idée de cette fameuse profondeur de champ en appuyant sur le bouton adéquat avant d'appuyer sur le déclencheur.
Amicalement,
Doum34
A propos du bouton de prévisualisation de la pdc des reflex ... j'avoue ne jamais l'utiliser. Et je pense personnellement que c'est un peu une vue de l'esprit pour de la photo d'insectes, qui n'aiment pas attendre. Avec un peu de pratique, on sait très bien ce que le peut espérer avec une ouverture donnée. La question est beaucoup plus (il me semble) celle du choix de la priorité : ouverteure, temps de pose, automatisme ?
Quant au choix du matériel, il fut un temps où le facteur déterminant (à mes yeux) était la réactivité des APN (mauvaise face aux reflex). J'ai abandonné un bridge (qui me donnait pourtant d'excellentes images) à cause de son retard au déclenchement.
Je suppose qu'en quelques années les APN ont dû s'améliorer. Le reflex n'a vraiment rien de magique ; le viseur est gênant pour les porteurs de lunettes et les prises de vues en situations délicates ; il est lourd ; il reste cher ; les bons objectifs sont ruineux ; les flashs idem ; chaque changement d'objectif est la porte grande ouverte aux poussières (pire, certains objectifs sont réputés pour être des "pompes à poussière" lors de la mise au point).
Amicalement,
Dimitri