Ah oui, j'allais oublier : les histoires de pois ridé ou lisse (caractère qualitatif : tout ou rien), c'est bidon; la génétique se traduit par la production de molécules qui agissent sur d'autres mollécules (des enzymes et des protéines) qui finissent par définir un caractère. Les enzymes, en fonction des versions de
gènes (allèles) sont plus ou moins actifs et plus ou moins produit en grande quantité. En fin de chaine, on a plus ou moins d'une mollécule plus ou moins active. la génétique est donc quantitative. D'où la nécessité de la traiter statistiquement.
Bon pour le reste, on commence par définir une espèce au niveau génétique, en utilisant de l'ADN inactif (donc inutile selon nos connaissances actuelles, ce qui est loin d'être évident : la nature fait rarement de l'inutilme. bref, on sait pas à quoi il sert). Une fois l'espèce définie, on identifie les les chaines de
gène codant pour un caractère. Si on identifie rien, c'est que le caractère est acquis, pas génétique? cette analyse ne peut qu'être statistique.
Je précise au passage que penser qu'il existe un chez nous un
gène des yeux bleux, un des yeux verts... c'est de la gnognotte. Il existe une une chaine génétique codant pour un pigment foncé, et en fonction de la quantité génétiquement prévue, la couleur va varier du bleu au noir. En fonction de l'acytivité cellulaire (encore déterminée génétiquement) les celulles des différentes zones de l'oeil vont fixer plus ou moins ce pigment, d'ou des variations internes de coration. Parce que la couleur n'est pas uniforme non plus. C'est ça, la génétique
