et puis aussi Atlas entomologique régional 44-85, Société des ciences Naturelles de l'Ouest de la France, Vivarmor (papillons surtout), Bretagne Vivante/SEPNB, Mauges-Nature, Mayenne-Nature-Environnement (section entomo), Deux-Sèvres-Nature-Environnement (la moitié nord du département fait partie du Massif Armoricain), Société Linéenne de Normandie, Association Faune-Flore de l'Orne... bref un sacré réseau avec toutes les assoc assez différentes les unes des autres mais globalement actives. L'entomo du Massif Armoricain qui reste seul dans son coin n'a guère d'excusesGRETIA, Naturalistes Angevins, Naturalistes Vendéens, Manche-Nature, Société des Sciences de Cherbourg

Pour en revenir au sujet de Didier, pour ma part, j'adhère bien évidemment aux différentes contributions des uns et des autres. Un petit débat quand même, en contrepoint de ce que tu nous dit, Jean-Michel : un certain nombre d'assoc ont des salariés (même les non gestionnaires de terrain) qui leur permettre de faire avancer des projets d'envergure plus rapidement. Mais d'autres se refusent à entrer dans un tel système qui, inévitablement, pousse à la professionalisation et oblige les membres du CA à se pencher sur des points qui ne sont pas forcément ceux qu'ils recherchaient en adhérant : gestion "humaine, organisation du travail, etc... De plus, les partenaires institutionnels poussent aussi à cette professionalisation en généralisant les conventions d'études (ce qui leur évite d'en passer par des appels d'offre) et en limitant (voire annulant) les simples subventions de fonctionnement, de soutien. Dans la "production", certaines structures deviennent alors parfois assimilables, pour une part de leur activité, à des bureaux d'études... et en corollaire, les salariés s'interrogent sur leur activité et les adhérents se sentent de plus en plus éloignés des actions de l'assoc.. Une question donc reste posée : est-ce un cercle vicieux inéluctable quand une assoc. embauche des salariés ou peut-on trouver le bon équilibre entre les projets associatifs (atlas, stages et sortie, échanges, mutualisation des connaissances...), les études plus spécialisées et le besoin de croûter ? Sans oublier la bonne humeur/le bon humour

Amicalement
Franck