Je l'ai rencontré en Ardèche, avec Pierre, le 14 juin 2013, sur la Loubière. C'est un ruisseau de largeur variable, plusieurs mètres de large sur dalles calcaires ou laissant à peine la place de se glisser dans la végétation rivulaire et qui abrite un cortège odonatologique étonnant puisque Pierre me dit qu'on y recense une trentaine d'espèces sur environ 200 mètres!
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Nous l'avons cherché parmi de nombreux C. mercuriale et C. puella. Il se plait donc sur les ruisseaux et rivières et je pensais que de cette façon on ne risquait pas de le trouver avec C. scitulum que je n'ai jamais vu que sur des mares dans ma région. Manque de pot C. scitulum va aussi sur les ruisseaux lents dans le sud.
Les différences se trouvent au niveau des
On note aussi les ptérostigmas pointus et grossièrement triangulaires.
Le
La répartition du noir est un critère sans doute plus facile à apprécier à distance quand on a l'habitude...
C. scitulum présente de S3 et S4 à peine à moitié noirs, C. caerulescens montre plus de noir que de bleu sur ces mêmes segments.
Autre détail, mais je ne sais pas si c'est constant; il a des yeux qui ressemblent à ceux de E. lindenii et d'ailleurs avec les petites taches postoculaires de ce sujet, si on exclu l'abdomen il y ressemble bien. En plus, c'est curieux, il présente à l'avant du
Il ne reste plus qu'a tomber sur l'un des deux ou les deux 
