Bonjour,
Oui pas de souci c'est bien lui (
S. n.), très fréquent dans le NW et ailleurs en France (moins dans le Midi quand même). Les berlèses en révèlent des quantités !
En plus du nb de p.p., l'aspect de la dernière p.p./longueur de l'article
apical par rapport à l'avant dernier colle très bien. Les pores
coxaux sont discrets chez
Schendyla, plus ou moins cachés par le
sternite adjacent... C'est pour ça qu'ils peuvent être difficile à voir. Se voient mieux au microscope en fait.
Bravo donc
S. peyerimhoffi est très rare et
halophile.
Je ne comprends pas bien pourquoi dans la clé des géo du nord ouest, on s'embête à passer par des trucs compliqués et qu'on ne prend pas plus tôt en compte la présence ou pas d'une griffe fonctionnelle sur les pattes terminales
Parce que chez certains mâles de
Geophilus spp., la griffe terminale peut être assez (très) réduite contrairement aux femelles, alors c'est pour éviter des sources d'erreur. Je m'étais servi de ce critère "haut dans la clé" dans mon anc. clé armo de 2006. Puis pour certains cas, ça peut être plus facile au contraire de ne pas se servir du critère de la griffe en 1er, par exemple les spp. à nombreux pores
coxaux dispersés se déterminent plus facilement avec la clé NW actuelle.
Etienne