"je m'étais senti un goût prononcé pour l'étude de cette famille et je m'en occupais avec prédilection" (S.-A. de MARSEUL 1853, Essai monographique des Histérides, Ann. Soc. ent. Fr. : 131)
Très juste , par contre il faut choisir une des trois sous-espèces des Pyrénées-Atlantiques et là je ne m'avance pas...
"je m'étais senti un goût prononcé pour l'étude de cette famille et je m'en occupais avec prédilection" (S.-A. de MARSEUL 1853, Essai monographique des Histérides, Ann. Soc. ent. Fr. : 131)
Pourrait être coiffaiti avec sa forte sinuosité des bords du pronotum, mais je ne m'aventurerais pas à déterminer des sous-espèces sur photo. D'ailleurs Jeannel lui-même considérait que ces sous-espèces étaient peu différenciées.
Merci René, ton avis confirme ce que je pense, il ne sera pas question aujourd'hui de définir la sous-espèce à partir de mon cliché.
D'ailleurs, je ne me suis jamais risqué de mettre un nom de sous-espèce sous mon spécimen !
Alors, il est plus sage de mentionner simplement microphthalmus conformément à Lysbeth d'Alys
"je m'étais senti un goût prononcé pour l'étude de cette famille et je m'en occupais avec prédilection" (S.-A. de MARSEUL 1853, Essai monographique des Histérides, Ann. Soc. ent. Fr. : 131)
la biologie de cette espèce, tout comme celle de sa copine nadari, reste assez mystérieuse pour moi. ce sont des grosses bêtes qui ont donc besoin de grosses proies. Elles ne peuvent pas se trouver profond dans les cavités ? sont-ce plutôt des bêtes de talus d'entrée de grotte ?
Sat'
Si vous pouvez lire ça, c'est que vous êtes trop près
Effectivement ça ressemble à une bête qui se trouve abondamment dans les premières salles des grottes des P.-A. par exemple à Oxibar et dans toute la zone, mais je n'ai jamais identifié ces monstres (dont la taille est bien variable si c'est lui) donc je ne saurai être affirmatif.
Ce spécimen a été pris sous une très grosse pierre à plusieurs centaines de mètres d'un gouffre. (Comme j'ai le dos en compote, je suis bien incapable maintenant de soulever une telle pierre)
"je m'étais senti un goût prononcé pour l'étude de cette famille et je m'en occupais avec prédilection" (S.-A. de MARSEUL 1853, Essai monographique des Histérides, Ann. Soc. ent. Fr. : 131)