L. Vivas reprend dans 
son article les principaux critères externes déjà énoncés par 
H. Ribaut :
- tache noire de l'endocorie en ovale ovale allongé, remontant assez haut le long de l'endocorie (la pointe du 
scutellum est au peu près au niveau du milieu de cette tache ; chez 
stridulus, cette tache est beaucoup plus courte et remonte moins haut sur l'endocorie, pratiquement entièrement située en dessous du niveau de la pointe du 
scutellum).
- tache antérieure de la membrane entièrement contenue dans la cellule qui la porte (plus grande chez 
stridulus, débordant des nervures de la cellule).
Vivas ajoute également un critère sur le 
clavus : je ne sais pas s'il s'agit d'une confusion de sa part avec l'endocorie du texte de Ribaut, ou bien d'un critère issu de ses observations personnelles ; en tous cas, cela colle dans tous les cas.
L'ensemble plaide clairement bien en faveur de 
P. hybridus.  
 
   
 
  Peirates hybridus
 Peirates hybridus (Scopoli, 1763)