Comme le précédent sur les Longicornes, il offre des fiches pour chaque espèces, avec les caractères pour les distinguer de celles semblables, la distribution européenne et dans les régions limitrophes, l’habitat et la biologie connue. A cela suivent les clés illustrées pour la détermination des adultes et des larves. Enfin on a analysé la fréquence et l’abondance des espèces pour mettre en évidence les changements faunistiques dans le dernier siècle et leurs rapports aux changements du climat et de l’environnement.
Du moment que l’atlas couvre aussi le Grand-Est et la Belgique, cela pourra intéresser ceux qui ont planifié un atlas sur les cantharidés françaises ou belges.
Cette famille n’est pas très populaire chez les entomologistes à cause des téguments qui tendent à se froisser

