c'est certainement elisabeth! Jolie photo traditionnelle de cette femelle, vous me donnez envie avec toutes ces vues de ces beautés!J'ai eu une semaine de conge mais il n'a pas fait beau et maintenant je suis de retour au turbin. J'espère pouvoir profiter de l'autorisation qu'on m'a accordée. Que chance de l'avoir eue posée. Comment tu l'as eue, matin, très tôt etc donne un peu de détails si cela ne te dérange pas que je puisse maximiser mes chances quand je serai à nouveau en face d'elle.
Les premieres femelles sont aparues avant les mâles et se sont misent a pondre tout de suite, j'en etait encore a manger des myrtilles dans les dernières volutes de brume matinale, au moment ou on comence a se dire que le soleil va bientot gagner la bataille.
Elles ne sont pas trop difficiles a approcher, mais je ne le ferais plus. J'ai trop de scrupules a ecraser les fragiles droseras pour un cliché.
Antoine Guibentif : France : 7 8 2009 : les rousses : 39
Donc si j'ai saisi la subtilité, pour les femelles il faut regarder la dimension des taches dorsales sur les premiers segments; taches d'apparence plus grandes que les tergites égal A. juncea.
La différence de 'netteté' des bandes latérales du thorax ne me parait pas évidente chez les femlles
Aeshna juncea
Les champignons poussent dans les endroits humides, c'est pourquoi ils ont la forme d'un parapluie - Alphonse Allais
Effectivement, on voit que les taches jaunes du dessus de l'abdomen sont plus nettement plus grosses a l'arrière du segment qu' à l'avant de ce même segment chez juncea, elles sont presque egales chez subarctica (je sais pas si je me fait bien comprendre).
Il y a aussi un critère qui me semble très constant et infaillible dans de bonnes conditions (il ne m'a jamais trompé) c'est celui de la largeur du trait noir qui barre le "museau". D'une epaisseur constante chez subarctica, il se retreci brusquement et très nettement sur les côtés de juncea, au point de parfois presque disparaître. Et c'est valable pour les deux sexes.