Qui pourra me corriger mes "Moustiques" ?

[Fr. Neumand]

Svp, je cherche à obtenir un texte clair et concis sur le sujet, je ne le voudrais pas faux. je ne suis pas très compétent puisque je ne connais même pas le nom scientifique du culicoïde.
LES MOUSTIQUES

Ce sont des insectes diptères: 2 ailes, un exosquelette, 2 antennes cillées, 200 battements d'ailes/seconde, larve aquatique + nymphe, reproduction rapide (plusieurs fois par saison) en terrain sec ou humide (eau stagnante, roubine.
Ils comprennent: les aedes, les anophèles, les culex
Les culicoïdes pulicaris (cératopagonidés) également hématophages, dits: maringouins, arabis, alambis, en font peut-être partie ?????
Les moustiques donc, inoculent un anesthésiant vasodilatateur dans les veines de leur victime, leur salive anti-coagulante est porteuse du plasmodium (hématozoaire, parasite de l'homme).
La piqûre provoque une inflammation qui n'est autre qu'une réaction d'anti-corps.
RESISTANCE
Le principe est que les moustiques non combattus par insecticide y restent sensibles et combattent de leur côté les mutations génétiques des autres s'ils restent majoritaires. En effet, la réaction de tout être vivant combattu est de résister. Les moustiques attaqués par des insecticides luttent contre ce poison par des mutations génétiques rapides qui les immunisent. La solution écologique est donc la préservation de zones non démoustiquées, comme la Camargue, certains lieux en Finlande ou au Canada.
L'anophèle femelle transmet le plasmodium dont l'homme est l'hôte intermédiaire, (ce qui veut dire que ce peut être l'homme qui contamine le moustique avant que celui-ci en contamine d'autres).
Le plasmodium nous transmettra, en attaquant les globules rouges de notre sang, le paludisme, ou malaria. (270 000 000 de malades dans le monde, surtout en Afrique en Amérique du sud et dans le sud-est asiatique)
D'autres moustiques transmettront, quant à eux d'autres maladies comme la dingue ou la fièvre jaune.
La solution la plus efficace reste la bonne vieille moustiquaire imprégnée d'insecticide chimique.
En France, on peut se contenter, dans les zones systématiquement démoustiquées, donc, peu attaquées, de plants de lavande et d'hélichysum (immortelle à fleurs jaunes), de pins, de citronnelle, de géranium citronnelle et bien d'autres. Mais on évitera les roseaux dont les feuilles engainantes accueillent les maringouins (culicoïdes), les tamaris, les pneus usagés qui retiennent l'eau stagnante véritable bouillon de culture, et peut-être bien d'autres choses que je ne connais pas.
Fr.Neumand

[littlebigfly]

Svp, je cherche à obtenir un texte clair et concis sur le sujet, je ne le voudrais pas faux. je ne suis pas très compétent puisque je ne connais même pas le nom scientifique du culicoïde.
LES MOUSTIQUES

Ce sont des Ceratopogonidae, comme tu le dis plus bas, alors que les moustiques sont des Culicidae

Ce sont des insectes diptères: 2 ailes, un exosquelette, 2 antennes cillées, 200 battements d'ailes/seconde, larve aquatique + nymphe, reproduction rapide (plusieurs fois par saison) en terrain sec ou humide (eau stagnante, roubine.
Ils comprennent: les aedes, les anophèles, les culex
Les culicoïdes pulicaris (cératopagonidés) également hématophages, dits: maringouins, arabis, alambis, en font peut-être partie ?????



Les moustiques donc, inoculent un anesthésiant vasodilatateur dans les veines de leur victime, leur salive anti-coagulante est porteuse du plasmodium (hématozoaire, parasite de l'homme).

Tous les moustiques ne sont pas porteurs de Plasmodium ; cela concerne seulement certaines espèces!!

La piqûre provoque une inflammation qui n'est autre qu'une réaction d'anti-corps.
RESISTANCE
Le principe est que les moustiques non combattus par insecticide y restent sensibles et combattent de leur côté les mutations génétiques des autres s'ils restent majoritaires. En effet, la réaction de tout être vivant combattu est de résister. Les moustiques attaqués par des insecticides luttent contre ce poison par des mutations génétiques rapides qui les immunisent. La solution écologique est donc la préservation de zones non démoustiquées, comme la Camargue, certains lieux en Finlande ou au Canada.
L'anophèle femelle transmet le plasmodium dont l'homme est l'hôte intermédiaire, (ce qui veut dire que ce peut être l'homme qui contamine le moustique avant que celui-ci en contamine d'autres).

Certaines espèces d'Anophèle et certaines espèces d'Aedes, pas toutes!!! De plus, tous les spécimens de l'espèce porteuse du Plasmodium ne sont pas infectés![/b]

Le plasmodium nous transmettra, en attaquant les globules rouges de notre sang, le paludisme, ou malaria. (270 000 000 de malades dans le monde, surtout en Afrique en Amérique du sud et dans le sud-est asiatique)
D'autres moustiques transmettront, quant à eux d'autres maladies comme la dingue ou la fièvre jaune.
La solution la plus efficace reste la bonne vieille moustiquaire imprégnée d'insecticide chimique.
En France, on peut se contenter, dans les zones systématiquement démoustiquées, donc, peu attaquées, de plants de lavande et d'hélichysum (immortelle à fleurs jaunes), de pins, de citronnelle, de géranium citronnelle et bien d'autres. Mais on évitera les roseaux dont les feuilles engainantes accueillent les maringouins (culicoïdes), les tamaris, les pneus usagés qui retiennent l'eau stagnante véritable bouillon de culture, et peut-être bien d'autres choses que je ne connais pas.
Fr.Neumand

[littlebigfly]

Voilà, je me suis permise de pratiquer une petite mise au point.
Il est vrai que dans les pays tropicaux, le paludisme est un vrai fléau et une préoccupation majeure de santé publique pour bon nombre de pays. Mais il faut quand même savoir que tous les moustiques ne sont pas susceptibles de transmettre le palu!

amitiés