Pour le genre je pense avoir trouvé, mais aprés vérification sur FE, il sort 37 espèces et seulement 3 dans la galeries et 4 chez les Allemands. De plus, je ne comprend pas l'Allemend, mais le mot de "Artenkomplex" ne me rassure pas trop.
Je pensais à Phtheochroa, vu la trés grande ressemblance la -->. Mais me serai-je trompé ?
Pour la Bryone je ne connais pas grand chose en botanique (j'essaye de m'améliorer), c'est possible mais sans garantie, je viens juste de voir ce qu'étais la Bryone.
Je l'ai trouvé atiré par les lumières d'habitation, à coté il y a une zone de jardins, des chène, hêtres, Peupliers et pins un peu plus haut. Pour la végétation herbacée c'est plus difficile de dire.
"Les insensés vivent sans jouir de ce qu'offre la vie" Démocrite
Serais-ce plutôt à Phtheochroa rugosana que tu penses ? Je trouvais P. annae lui ressemblais plus en raison de la forme de la plus grande tache blanche qui rejoint la costa contrairement au premier ou elle n'y arrive pas. Mais ce n'est peut-être pas déterminant.
P.S. sur UKMoths P. rugosana ressemble bien au mien.
Mais voici le texte google-traduit sur le "Artencomplex"
Jusqu'en 1990, P. rugosana était unique en Europe centrale. Ensuite présenté HUEMER (1990) un article sur le thème "Phtheochroa rugosana auct. - Un complexe d'espèces ". Ce sont de 5 nouvelles espèces décrites, dont 2 doivent être discutées ici. Dans le travail est aussi un Lectotyp de P. rugosana définis:
Phtheochroa ecballii: La nature a été des animaux de Cadiz (Espagne) décrit, dont les chenilles à injection concombre (Ecballium elaterium) ont été trouvées. Les différences avec Phtheochroa rugosana se situent avant tout dans la morphologie génitales. Même si le sud de l'Espagne, loin de l'Europe centrale, est ici mais prudence, car l'injection de plus en plus, le concombre dans les jardins et à Ruderalstellen dans le sud-ouest de l'Allemagne est de trouver.
P. Anna: "se distingue de P. rugosana génitales dans de nombreuses caractéristiques ... l'extérieur il ya deux types de différences dans la taille (rugosana est, en moyenne, nettement plus petite), mais aussi dans la Palpenlänge, ainsi que la coloration de la tête et du thorax. Les femelles d'Anna sp. n. ventral sont le dernier Abdominalsegment montrer plus profondément découpé et la forme caractéristique de l'antre même macroscopiquement. "La nature a été de Neusiedl dans le Burgenland est décrit et, sauf dans l'est de l'Autriche, la Hongrie, la Roumanie et la Grèce répandue. À propos de la nourriture de la chenille n'est pas connue.
La même année, a HUEMER (1990) il ya un autre article intitulé "Un nouveau type de Phtheochroa-nord de l'Italie". Références découvertes en Suisse ou en Autriche, on manque encore ici.
En l'état actuel des connaissances, tous les animaux de l'aspect satisfaisant de l'Allemagne, la Suisse et l'Autriche à l'ouest Phtheochroa rugosana - une protection des résultats par entreprise est en principe recommandé
P. rugosana et P. annae ne seraient pas différentiables sans génitalias, mais peut-être ce dernier n'habite pas les Pyrénées
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Ben oui, annae est une bête d'Europe centrale ... Il n'y a donc pas trop à hésiter ! D'autant que rugosana est bien connue des Pyrénées. Sa chenille se développe donc sur Bryone sorte de rampante rudérale assez fréquente. Je ne pense pas qu'il y ai d'Ecballium en Andorre ce qui doit nous prémunir d'une confusion possible avec ecbaliella présente, par exemple, sur le littoral des P-O. Après, si tu l'as gardée, tu peux faire une préparation mais, même avec ça, tu verras que les critères sont d'une grande subtilité
carbonecity a écrit :Ben oui, annae est une bête d'Europe centrale ...
C'est sur ça simplifie le problème, par contre pour Ecballium , aucune idée s'il y en a ici. J'ai vu que c'est une plante méditerannéene, mais je ne sais pas jusqu'ou elle monte Je vais me renseigner.
Donc à priori Phtheochroa rugosana
Merci
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Bonjour,
il semble qu' Ecballium pousse dans toute la zone méditerranéenne et pas au-dessus de 1000 m.
-" terrain sableux et rocailleux, vieux murs, prés, terrains vagues et jachères" M. Blamey, C. Grey-Wilson : Toutes les fleurs de Méditerranée, Ed. Delachaux et Niestlé.
"...Ne vous empressez pas de capturer et de tuer les insectes, mais consacrez le plus de temps possible à observer leur comportement." Harold Oldroyd - Collecting, Preserving and studying insects, 1958
Pour l'altitude c'est juste 1000m, terrain sableux non, mais rocailleux, vieux murs si. C'est donc à priori peu probable mais pas tout à fait impossible. J'ai envoyé un mail à quelqu'un qui étudie la flore d'Andorre, j'attend sa réponse.
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