Le mâle c'est celui de la première photo, la seconde c'est la femelle.
Petite traduction vite faite google du doc de CARLO PESARINI & ANDREA SABBADINI 2007 Ricerche sui Dorcadiini di Grecia. II. Le specie della Grecia centromeridionale e quelle del gruppo Dorcadion kozanii (Coleoptera Cerambycidae) (p. 60 et suivantes) :
http://www.cerambycoidea.com/papersEl.a ... t=P&NPag=2
Dorcadion (Cribridorcadion) vincenzae nov. sp. (Fig. 25, 48)
Description du

. Téguments du corps noir; antennes brun rougeâtre, légèrement et très progressivement assombries vers l'
apex. Pattes entièrement rougeâtres ou avec des
tarses légèrement foncés. Tête avec une ponctuation fine et dense à laquelle ils sont mélangés des points plus robustes, largement masqués par le revêtement, qui détermine une couleur blanchâtre sur le sommet variée par quelques grandes taches brun foncé. Devant avec enduit blanchâtre au centre, brun sur les côtés. Antennes de force moyenne,
soies rigides de la hampe fortement inclinées.
Prothorax fortement transversal (rapport largeur / longueur maximum entre 1,60 et 1,75), avec des tubercules latéraux bien marqués, acérés et généralement aigus, les côtés du
prothorax devant eux au moins légèrement concaves. Pronote avec une ponctuation primaire médiocre robuste et dense, dans les intervalles entre les points avec une ponctuation très fine et très dense. Surface légèrement convexe du
pronotum, quelque peu aplatie au centre du disque, de indistinctement à assez clairement surélevée au-dessus du bord
basal, revêtement
pubescent blanchâtre du
pronotum moyennement dense sur les côtés, plus dense le long d'une étroite bande longitudinale médiane, qui s'étend entre deux bandes de
pubescence sombre assez dense, qui, prises ensemble, occupent environ un tiers de la largeur totale du
prothorax.
Scutellum triangulaire à
apex arrondi, avec enduit
pubescent blanc sur toute la surface.
Élytres ovales relativement raccourcis, humérus quelque peu insaisissables. Sculpture élytrale très fine et uniforme sur toute la surface, même si elle est principalement masquée par le revêtement. Cette dense, brun foncé ou brun noirâtre variait par des motifs formés par une
pubescence blanchâtre consistant en une bande suturale de largeur moyenne et, sur chaque
élytre, une large bande latérale formée par des poils légèrement amincissants, une bande suturale de largeur moyenne et, sur chaque
élytre, une large bande latérale formée par des poils légèrement amincissants, une bande
humérale et une extension dorsale. Quelque peu variable, mais toujours fusionnés ensemble au moins sur le sixième
basal et sur le tiers
apical de leur longueur, la section qui les sépare jamais plus large que la ceinture dorsale, parfois réduite à une ligne longitudinale courte et très étroite ou complètement disparu en raison de la fusion complète de la deux bandes. Tache de poils blancs à la
base des
élytres en correspondance de la bande pré-suturale de clairement indiquée à complètement absente. Pattes relativement trapues, le premier article des pattes postérieures juste deux fois sa largeur. Lobe médian de l'œdème aux contours presque uniformément arqués, avec rétrécissement
apicale touchant plus de la moitié de la longueur du tube (Fig. 25a). Paramètres assez courts, avec des
soies courtes et fines sur la majeure partie de la moitié
distale, seulement à l'
apex extrême avec des
soies assez longues et robustes (Fig. 25b).
Description comparative de la

. Les

provenant des matériau étudié toujours sensiblement homéocrome, avec une
livrée tout à fait identique à celle du

ou ne se distinguant que par la présence de quelques points noirs veloutés à proximité de la bande suturale ou par la déviation réciproque légèrement plus grande que l'on observe entre la bande dorsale et
humérale; dans les spécimens isolés, bien qu'avec des bandes claires complètement développées, une teinte noisette plutôt que brun foncé est observée dans la tomentosité de fond des
élytres.
Longueur: 10,2-12,6 mm.
Holotypus

: Grèce, nom. Viotie: 2 km N Arahova, 3.V.1996, étape. Pesarini et Sabbadini, conservés dans les collections du Musée civique d'histoire naturelle de Milan.
Paratypi: 18

et 11

, mêmes données de l'
holotype; 11

, Parnasse, V.1985, leg. Schurmann; I

et 1

, même localité, 12.Vl.1991, leg. Sobota, conservé dans les collections du Musée civique d'histoire naturelle de Milan, dans la collection Sama et dans celle des auteurs.
Derivatio nominis. L'espèce est dédiée en signe d'affection à la mère de l'un des auteurs (A. S.).
Notes et observations comparatives. L'espèce est assez isolée au sein de son groupe (voir à ce sujet la clé dichotomique donnée ci-dessous); il peut aussi être utile de souligner les différences avec le D. minutum
sympatrique et le D. parnassi, dont la patrie classique voit ce qui a déjà été expliqué au cours du traitement de l'espèce. Quant à la distinction avec D. minutum, qui est très facile pour les populations
sympatriques (dans la zone de D. vincenza et

de D. minutum, elles sont toujours dépourvues de bandes de disques blanchâtres sur les
élytres), elle est assez facile même en ce qui concerne les spécimens avec des bandes élytrales. à l'écart de D. minutum atticum, dans lequel le fascia
huméral et dorsal est toujours formé par une
pubescence blanchâtre qui est nettement plus clairsemée que celle du fascia sutural, comme dans le

de D. vincenzae. La distinction avec D. pamassi est encore plus facile, car le troisième article tarsien est beaucoup moins profondément bilobé et la fusion plus large et la juxtaposition réciproque, chez le

, des bandes dorsale et
humérale des
élytres, fusionnées dans D. pamassi au plus au huitième
basal et sur le quart
apical, tandis que chez D. vincenzae ils sont au moins sur le quart
basal et sur le tiers
apical. Enfin, les

sont des homéocromes chez D. vincenzae et des autocromes chez D. parnassi. D'après ce que nous savons du matériel collecté personnellement, l'espèce doit être trouvée sur le massif de M. Parnasso surtout à des altitudes relativement modestes.