E. dilaticollis a le clypeus non enclos par les joues, les bords latéraux de son pronotum sont convexes et c'est une très rare espèce montagnarde trouvée entre 1400 et 1800m dans les PO et dans les Alpes-de-Haute-Provence. FD a fait un bel article sur le sujet avec Magnien.
E. hottentotta n'a pas le clypeus enclos, les bords latéraux sont aussi convexes et le dessus de son corps est verruqueux, et puis on dirait qu'elle a de grosses fesses, d'où son nom (voir la photo 775 de la galerie que j'avais faite pour la comparer à E. austriaca). C'est aussi une espèce très rare, mais on la trouve dans la zone méditerranéenne plutôt en mai-[/i]juin sur les graminées.
Le marin saoul monte en cirrhose au mât avec en son dos: liquorice, bacs à rhum.
Il lance son filet, ça mord et la carpe au corps, hisse à bord le spécimen. Ivre, un accroc au sternum il délire, voit des créatures de rêves et bafouille: l'est-y psa Casta?
n'oublions pas qu'il y a 2 sous-espèces (austriaca austriaca et austriaca seabrai)
seabrai est une très bonne sous-espèce qui se distingue de la f. nominale par les genitalias . Ben oui, sans dissection impossible à voir !!!
Voir : Moulet (1994), Eurygaster austriaca seabrai sous-espèce nouvelle pour la faune française. Nouv. Revue Entomologie, 1 : 283-286.
A+
de la musique avant toute chose
et pour cela préfère l'imper
dit le velia au gerris
J'ai fait une erreur dans mon message du 10 juillet.
E. hottentotta a le clypéus enclos par les joues, ce que l'on voit sur la photo 7715 (merci Pierred pour la rectification).
C'est donc un moyen sûr de le séparer de E. dilaticollis. Toutefois il est tellement particulier avec son corps verruqueux, qu'on le distingue à l'oeil sans problème.
Le marin saoul monte en cirrhose au mât avec en son dos: liquorice, bacs à rhum.
Il lance son filet, ça mord et la carpe au corps, hisse à bord le spécimen. Ivre, un accroc au sternum il délire, voit des créatures de rêves et bafouille: l'est-y psa Casta?